fbpx
Chargement Chargement...

VIENS : exposition à la GNO du volet Art performance du projet Manifeste

12 février, 2019

Présentée à la Galerie du Nouvel-Ontario (GNO), Viens est l’aboutissement de la résidence d’artistes tenue dans le cadre du projet Manifeste de la Place des Arts du Grand Sudbury.

À la suite des explorations faites en résidence cet automne, les artistes Pascaline Knight, Mariana Lafrance et Julie Lassonde mettront en commun leur vision et leur compréhension du Nouvel-Ontario – lieu mythique plus que géographique – dans une série d’explorations performatives.

À partir de leurs démarches individuelles, elles questionnent à la fois le corps, la langue, l’égo, le territoire ou l’imaginaire, tout en s’y ancrant pour en faire une expérience collective; elles passent du «je» au «nous» tout en cherchant à inclure le «vous».

Cette collaboration culminera lors de la soirée de performances du 16 février où les trois artistes offriront au public une occasion unique de se questionner sur la notion d’accueil et les conditions qui façonnent son succès ou ses écueils. Viens rassemble à la fois cette soirée et ses traces laissées intentionnellement (ou non), exposées du 16 février au 30 mars, à la Galerie du Nouvel-Ontario.

Exposition du 16 février au 30 mars 2019
Vernissage :  samedi 16 février 2019 / accueil à 16h, performances dès 16h30
Réception avec les artistes: dimanche 17 février 2019 à 11h

Les artistes

Par des actions ponctuelles et performatives, Pascaline Knight utilise la marge rouge et les lignes bleues du cahier Canada afin de révéler les liens entre la présence et le corps. Sa pratique sonde ces structures implicites pour mettre au jour leur pouvoir normatif inconscient.

Mariana Lafrance crée de petits mondes absurdes tissés autant de mémoires fracturées que d’une invitation vers un futur intègre. Jeu d’enfant et sagesse, personnel et collectif se heurtent et se provoquent pour créer une installation vivante haute en couleur.

La pratique de Julie Lassonde mélange l’art et la justice. À travers le mouvement du corps en relation avec les objets et l’espace, et l’utilisation de courts textes, elle souhaite ouvrir des pistes de réflexion sur le développement des normes sociales.